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Valériane, pièges à poils, appareil photographique...

Des méthodes non invasives pour détecter le Chat forestier

Nous vous avons présenté dans l’article précédent le Chat forestier, les relations qu’il entretient avec le Chat domestique et les différentes façons de les différencier. Nous vous proposons ici de nous intéresser aux techniques d’études des petits Félidés.

Si les effectifs ne sont pas connus précisément, la répartition du Chat forestier est suivie à l’échelle nationale par l’Office français de la biodiversité, et localement par de nombreuses associations naturalistes dans leurs régions respectives.
Au-delà des observations directes, des méthodes non invasives sont utilisées, notamment les appareils photographiques automatiques associés à des pièges à poils, qui donnent de très bons résultats. Le protocole traditionnel implique un piquet en bois enduit de Valériane officinale (Valeriana officinalis), une plante particulièrement attractive pour les chats, forestiers comme domestiques.

Cependant, dans certaines régions, les chats forestiers se révèlent moins attirés par cette méthode, et les naturalistes sont amenés à développer d’autres stratégies. Nous vous proposons de lire l’article paru dans la revue « Plume de naturaliste » à ce sujet.

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